21-oct-2012
Aujourd'hui
levés à 5h20 pour être bien à l'heure pour la croisière. Pas de
gros changement avec l'horaire habituel donc!
Nous
nous sommes rendus au débarcadère et avons pris place sur un des
bateaux.
Le guide nous a montré une multitude d'oiseaux. Il s'approchait doucement avec le bateau et nous laissait bien le temps de les voir. Nous avions pris les jumelles (obligatoires sinon certains oiseaux sont tellement petits que l'on a du mal à les distinguer dans les feuillages), c'était vraiment chouette. Certains oiseaux étaient très colorés, d'autres avec des formes bien particulières. Un cormoran séchait ses ailes, on aurait dit une chauve-souris (le guide nous a expliqué qu'il n'avait pas d'huile pour cirer son plumage alors il est obligé de se sécher après plusieurs plongées sinon il devient trop lourd pour voler).
Nous avons vu un aigle (White Bellied Sea Eagle), il était très impressionnant. Le ventre tout blanc, le plumage très lisse, et un regard perçant, il faisait presque peur!
Le guide nous a montré une multitude d'oiseaux. Il s'approchait doucement avec le bateau et nous laissait bien le temps de les voir. Nous avions pris les jumelles (obligatoires sinon certains oiseaux sont tellement petits que l'on a du mal à les distinguer dans les feuillages), c'était vraiment chouette. Certains oiseaux étaient très colorés, d'autres avec des formes bien particulières. Un cormoran séchait ses ailes, on aurait dit une chauve-souris (le guide nous a expliqué qu'il n'avait pas d'huile pour cirer son plumage alors il est obligé de se sécher après plusieurs plongées sinon il devient trop lourd pour voler).
Nous avons vu un aigle (White Bellied Sea Eagle), il était très impressionnant. Le ventre tout blanc, le plumage très lisse, et un regard perçant, il faisait presque peur!
Soudain
quelqu'un a dit 'there is a croc there' et ça a été le festival.
On n'a pas arrêté d'en voir, il y en avait de partout. Certains
étaient tranquillement allongés sur la rive, en train de bronzer au
soleil, d'autres encore nageaient sans bruit, seule leur tête et une
partie de leur dos dépassait. D'autres encore avaient la gueule
grand ouverte. On s'est approché de ceux qui étaient sur la rive
avec le bateau, des fois ils finissaient par se glisser dans l'eau.
Le guide a continué à nous montrer les oiseaux et la flore particulière du marécage. Il y avait là aussi des Water Lilies (lotus).
Les blancs sont endémiques de la région, les roses ont été importés. Nous nous sommes approchés des Water Lilies et nous avons pu voir un bien curieux oiseau (impossible de retrouver son nom, pourtant j’étais sûre de l'avoir vu sur une brochure) : il marche sur les feuilles de lotus pour se déplacer! Il est tellement léger et il a des doigts tellement écartés (ses pattes sont presque aussi grandes que son corps) qu'il arrive à se déplacer sans couler. L'oiseau que nous avons observé était un mâle car ses poussins le suivaient (trop mimis :-) et chez cette espèce c'est le papounet qui s'occupe de ses petits.
Le guide a continué à nous montrer les oiseaux et la flore particulière du marécage. Il y avait là aussi des Water Lilies (lotus).
Les blancs sont endémiques de la région, les roses ont été importés. Nous nous sommes approchés des Water Lilies et nous avons pu voir un bien curieux oiseau (impossible de retrouver son nom, pourtant j’étais sûre de l'avoir vu sur une brochure) : il marche sur les feuilles de lotus pour se déplacer! Il est tellement léger et il a des doigts tellement écartés (ses pattes sont presque aussi grandes que son corps) qu'il arrive à se déplacer sans couler. L'oiseau que nous avons observé était un mâle car ses poussins le suivaient (trop mimis :-) et chez cette espèce c'est le papounet qui s'occupe de ses petits.
Nous
avons aussi vu un magnifique martin-pécheur bleu et orange. Il était
tout petit mais il était vraiment beau. C'est mon préféré parmi
tout ceux que nous avons vu!
Nous
sommes ensuite revenus vers le débarcadère, après 2h de croisière.
C’était incroyable de voir toute la diversité qu'il y a dans les
Wetlands. Et nous n'aurions jamais pu voir autant d'oiseaux en étant
tout seuls (il nous fallait parfois un moment avant de trouver
l'oiseau dont nous parlait le guide!).
Seul
bémol : nous aurions apprécié que la maman d'Octave arrête
de nous saouler avec ses 'touche pas à ça c'est sale' 'tu as faim'
tu as soif' 'tu as sommeil' 'tu veux t'asseoir'.. , tout ça en
français dans le texte bien sûr. Ou que des crocs finissent par lui
choper son bras qui dépassait tout le temps du bateau, ils nous
auraient rendus un fier service. Parce que des gosses et des parents
y'en avait d'autres sur le bateau, mais on entendait qu'eux!
Nous
sommes ensuite allés à Cooinda pour prendre le petit déj offert
avec la croisière (enfin offert, tu es obligé de payé 10AU$ de
plus pour la première croisière de la journée qu'ils appellent la
'breakfast cruise'). On a donc tout goûté, même l’omelette,
bacon, saucisses, baked beans (de toute façon, c’était presque
l'heure du lunch pour nous!).
Puis
nous avons fait le plein d'essence et d'eau (on galère quand même à
trouver les points d'eau, les gens ne les disent pas facilement),
acheté du pain et nous avons repris la route. Nous nous sommes
dirigés vers le sud. Premier arrêt à Gungurul puis à Bukbukluk
pour leur point de vue mais rien d'extraordinaire. Cela doit être
plus spectaculaire pendant le wet, lorsque la plaine est inondée.
Nous
avons ensuite pris la piste direction Gunlom (presque 40 km sur une
route non bitumée, avec des 'vagues').
Au bout de 10km, j'ai laissé le volant à Jim, j'étais épuisée et je commençais à avoir des crampes aux mains à force de serrer le volant. Je n'arrivais pas à rester au-dessus de 40km/h très longtemps car il faut tenir le volant fermement pour ne pas aller dans le décor tellement ça vibre. Jim a conduit comme un chef, même si 2-3 'ralentisseurs' nous ont obligés à nous arrêter pour récupérer sa valise qui était tombée de l’étagère du Hitop (elle était tombée dans le couloir du campervan, pas dehors hein) ! Nous avons même passé un petit pont sans parapet, heureusement pas très haut, mais quand même impressionnant!
Au bout de 10km, j'ai laissé le volant à Jim, j'étais épuisée et je commençais à avoir des crampes aux mains à force de serrer le volant. Je n'arrivais pas à rester au-dessus de 40km/h très longtemps car il faut tenir le volant fermement pour ne pas aller dans le décor tellement ça vibre. Jim a conduit comme un chef, même si 2-3 'ralentisseurs' nous ont obligés à nous arrêter pour récupérer sa valise qui était tombée de l’étagère du Hitop (elle était tombée dans le couloir du campervan, pas dehors hein) ! Nous avons même passé un petit pont sans parapet, heureusement pas très haut, mais quand même impressionnant!
Nous
sommes arrivés fourbus au camp, le van n'est quand même pas le
véhicule le plus adapté pour ce type de route. Certains 4x4 nous
ont croisé à plus de 80km/h alors que nous avons fait une pointe de
60km/h, et 23km/h en moyenne!
Nous
avons gouté puis sommes allés voir la chute d'eau. Peu d'eau
coulait de la cascade mais le site était quand même magnifique,
avec un petit lac en dessous.
Nous avons ensuite grimpé jusqu'en haut de la chute, par un sentier escarpé. Deux jeunes se baignaient dans un des bassins.
Nous avons ensuite grimpé jusqu'en haut de la chute, par un sentier escarpé. Deux jeunes se baignaient dans un des bassins.
L'eau
est sondée par les rangers en début de saison (pour virer les
crocos) mais quand même, je ne suis pas à l'aise alors on ne s'est
pas baigné. Nous sommes allés jusqu'au point de vue, c’était
grandiose.
Mais nous ne pouvions que très peu distinguer le bassin d'en bas.
Les italiens que nous avons croisé lors de la montée et que nous avions aperçus en train de se prendre en photo au point de vue ont du se rapprocher énormément du bord.. les fous!
Mais nous ne pouvions que très peu distinguer le bassin d'en bas.
Les italiens que nous avons croisé lors de la montée et que nous avions aperçus en train de se prendre en photo au point de vue ont du se rapprocher énormément du bord.. les fous!
Nous
sommes revenus près des bassins et avons discuté avec les 2 gamins
(18-20 ans max). Un allemand et un néo-zélandais venu en 4x4 et
voulant atteindre Pine Creek ce soir.. Bon courage les mecs, ça fait
un bout!
Jim
« Petit
message à Kévin : Le jeune était ton sosie parfait. A un tel
point que ça m'a troublé un bon moment. Mais je ne suis pas le seul
à partager cet avis car Chris aussi était d'accord avec moi »
Nous
sommes ensuite redescendus et avons fait la balade vers le Murril
Billabong.
Nous avons vu des Antilope Wallabies, couleur beige-ocre, vraiment très beaux. Arrivés au point d'eau, nous avons fait quelques photos puis sommes repartis au camp.
Nous avons vu des Antilope Wallabies, couleur beige-ocre, vraiment très beaux. Arrivés au point d'eau, nous avons fait quelques photos puis sommes repartis au camp.
Repas
et douche bien mérités!
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